La voiture rend -elle fou ou imbécile ? Pourquoi installé derrière le volant la raison nous échappe ? La bagnole est-elle vraiment une affaire de machos ? Voilà en vrac quelques questions posées par ce documentaire amusant qui tente de dresser le portrait de l’automobiliste français. Pour ce faire, Stéphane Benhamou et Laurent Rousseau ont compilé une somme de témoignages de conducteurs au bord de la crise de nerfs, de psychiatres et de gendarmes. Ils ont aussi sélectionné des extraits de films, de pubs et de sketches d’humoristes qui ont toujours puisé dans le comportement des Français en voiture une source inépuisable d’inspiration, d’Élie Semoun à Chevallier et Laspalès, en passant par Jean Yanne, Groland, Caméra Café, Les Deschiens ou Dany Boon

Ramallah en Cisjordanie est une ville assiégée. Les Palestiniens qui y vivent, tout comme les colons juifs, doivent s'adapter aux drames quotidiens. Mais comment vit-on dans un pays en guerre ? Kimo, chauffeur de taxi, faisait la liaison entre Ramallah et Jérusalem. Mais depuis deux ans il ne peut plus aller dans la ville sainte... L'exemple est frappant, mais tous les habitants de la ville qu'ils soient étudiants, médecins, journalistes doivent traverser trois barrages pour aller travailler et autant pour rentrer chez eux. Entre sirènes d'ambulances, bombardements et arrestations, le quotidien est difficile, parfois tragique, tant pour les Palestiniens que pour les Israéliens. Pourtant, la vie semble s'adapter à tout, même au pire.

Après les polémiques nées des chroniques de Stéphane Guillon et des spectacles de Dieudonné, on peut s’interroger sur les frontières du rire « admissible », sur ce qui, aujourd’hui, peut être dit et fait sans être condamné par le pouvoir, rejeté par les médias et poursuivi par toutes sortes d'associations. Les libertés dans ce domaine ont elles régressé ? C’est tout l’objet de ce documentaire. Une exploration des frontières de l’humour en compagnie de ceux qui en franchissent parfois les limites. Avec la participation de : Christophe Alévêque, Sophia Aram, Stéphane Collaro, François Rollin….

Pendant sept ans, les réalisateurs ont mené un travail de recherches et d'observations sur des animaux d'Europe chassés de leurs territoires : flamands roses du Guadalquivir, phoques islandais, daims et élans de Pologne, etc., réfugiés dans des régions retranchées, d'accès difficiles, tels que des falaises ou des marécages. Sept ans pour que nous devenions les témoins furtifs d’une vie inconnue.

Dans l'Est africain, des espèces animales d'une extraordinaire variété se côtoient, se mêlent, s'examinent avec indifférence. Tout n'est qu'un immense mouvement pour se nourrir. La nuit tombée, un autre monde apparaît qui s'organise par le sang et la mort. Tout est désormais lutte ou esquive. Les mouvements deviennent fuites, poursuites, bonds, écroulements, tandis que les immobilités sont attentes, guets, inquiétudes. Ainsi révélé, le monde nocturne rompt avec la longue continuité du jour.

38 ans après… A Farrebique, Roch et Berthe sont toujours là. Comme l’avait prévu le vieux père, c’est Raymond qui a repris la ferme. Mais les temps ont changé et aux environs les fermes se transforment : spécialisation, élevage en batterie, industrialisation… A Biquefarre, Raoul veut vendre; sa terre est trop petite et il n’a pas envie de faire de l’élevage en batterie. Aux alentours, chacun guigne ce petit lopin de terre qui permettrait d’agrandir le patrimoine. Et, bien sûr, en tête, les plus proches voisins de Raoul, la ferme de Farrebique. Raoul laisse monter les enchères… A Farrebique, au Bourrel, à la Fumade, la vie continue : labours, semailles, récoltes, mais également engrais, pesticides, machines… Roch fait de l’acquisition de Biquefarre une affaire personnelle. Mais la maladie va l’empêcher de mener seul cette affaire. Il charge donc son frère Henri de « négocier » avec Raoul la vente de Biquefarre à ceux de Farrebique.

Avec le recul désormais possible le film raconte la véritable histoire de la première guerre du Golfe : ses chapitres connus et, surtout, ses raisons secrètes. A partir de documents d'archives, inédits pour certains, et de témoignages recueillis aux quatre coins du globe Autopsie d'un conflit décrit la relation particulière entre l'Occident et Saddam Hussein à la veille de l'invasion du Koweït, puis fait le récit des principales tentatives de médiations menées discrètement, ou au grand jour, jusqu'au déclenchement de la guerre le 17 janvier 1991. Concertation permanente au sommet entre chefs d'Etats, pressions exercées pour obtenir des votes favorables aux Nations Unies : des témoins privilégiés nous permettent de voir la communauté internationale à l'oeuvre ...